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Pourquoi une hypnothérapie ?

L’hypnose va permettre à la personne d’aller chercher en elle, guidée par son thérapeute, les ressources dont elle a besoin et qui lui resteraient autrement inaccessibles.

« Si le conscient constate le problème, c’est pourtant l’inconscient qui en détient la clé »

Qualifiées de thérapies brèves, l’hypnose ou l’EMDR-DSA s’orienteront très vite sur la solution au problème plutôt que sur son origine.
Néanmoins, il ne s’agit pas de thérapies « magiques » dans le sens où la participation active de la personne est nécessaire pour venir à bout de son problème.

Une hypnothérapie n’a donc pas vocation à durer. Si un minimum de 2 à 3 séances est requis, le nombre total ne devrait pas dépasser la dizaine, selon les besoins et la demande de la personne.

Le champ d’application

Parce que l’essentiel de notre vie psychique est inconsciente, le champ d’application de l’hypnose n’est pas limitatif.
De la phobie au manque de confiance en soi, en passant par le deuil ou l’arrêt du tabac, l’hypnose a déjà fait ses preuves dans le traitement de nombreux troubles psychologiques.
Mais l’hypnose a également montré son efficacité en tant que thérapie du corps par l’esprit. En changeant le regard de la personne sur sa maladie ou ses douleurs, ainsi que sur ses capacités, l’hypnothérapie la remettra au centre de sa thérapie non seulement en développant sa confiance en elle-même et en son traitement, mais également en travaillant sur le volet psychosomatique de son trouble afin d’en comprendre le message et ainsi avancer sur son parcours de vie.
C’est notamment à ce niveau que l’hypnose quantique QHHT révélera toute sa dimension transpersonnelle, dépassant les cadres et cognitions communément admises afin d’élever le point de vue de la personne et l’aider à prendre conscience du sens de sa propre vie.

Questions fréquentes

Qu’est ce que l’hypnose ?

Techniquement, l’hypnose est un état de conscience modifié. Encore faudrait-il définir ce qu’est un état de conscience normal ou ordinaire ? Ce qui revient à définir la conscience… Vaste sujet, qu’il est sans doute plus facile d’aborder par une définition négative, c’est à dire ce qu’elle n’est pas.
Ainsi, nous savons que nous ne sommes pas conscients lorsque nous dormons, ni pleinement conscients dans les états d’endormissement et d’une façon générale lorsque nous faisons les choses mécaniquement ou passionnément. Ainsi lorsque nous conduisons, rêvassons, regardons la télévision, lisons un livre, discutons de sujets passionnants, bricolons, etc…
D’ailleurs, nous pouvons constater que dans ces moments-là, la perception du temps est différente, signe de la modification de l’état de conscience.
L’hypnose est donc un état parfaitement naturel que nous expérimentons à longueur de journée, mais que l’on va créer et diriger consciemment dans le cadre de l’hypnothérapie en vue de la réalisation d’un objectif précis et souhaité par le patient.

Tout le monde est il hypnotisable ?

L’hypnose étant un état naturel, chacun est évidemment hypnotisable. Toutefois, en raison du mode de fonctionnement plus ou moins rationnel ou sensitif propre à chacun, il conviendra d’adapter la technique utilisée par le thérapeute. Chaque personne étant différente, il n’existe pas de technique universelle qui fonctionnerait avec tout le monde, mais la pratique a élaboré de nombreuses techniques dans lesquelles chacun pourra trouver son compte.
Dans la mesure où nous n’avons pas tous le même degré de réceptivité, le changement d’état peut prendre plus ou moins de temps, selon les personnes et leur capacité à se détendre. Pour certains, le lâcher prise se fera très rapidement, alors que pour d’autres, la phase de préparation prendra un peu plus de temps, souvent par crainte de perdre le contrôle.
Il va de soi que l’hypnothérapie repose avant tout sur la confiance et une solide alliance thérapeutique entre le patient et son thérapeute, lesquelles sont les facteurs indispensables à ce lâcher-prise.
On constate ainsi qu’avec le temps et l’enchaînement des séances, l’entrée en hypnose se fait de plus en plus facilement.

L’hypnose est-elle magique ?

Si l’hypnothérapie peut apporter des résultats rapides et surprenants, il n’en demeure pas moins que cela est plus le fait du patient que du thérapeute. En effet, c’est le patient lui-même qui se soigne, la technique n’étant qu’un support, un guide pour accéder à son inconscient. Ainsi, la participation active du patient est indispensable et un patient complètement passif ne tirerait aucun intérêt de la thérapie. Si ces cas sont rares, l’aide du thérapeute sera ici indispensable pour identifier les éventuels bénéfices secondaires faisant obstacle à la thérapie et les mettre en lumière.

Le thérapeute peut-il manipuler son patient contre son gré ?

« Personne ne peut forcer la porte de mon Inconscient »

Comme indiqué précédemment, la mise en état d’hypnose nécessite le consentement du patient, même implicite. Ceci est vrai même pour l’hypnose de spectacle qui fait appel à un panel particulièrement réceptif mais obligatoirement consentant… puisqu’ils ont participé à tous les tests de réceptivité et de sélection préalables.
Mais ceci est encore plus vrai en hypnose thérapeutique puisque l’état hypnotique est alors utilisé dans un cadre et avec un objectif précis, et uniquement dans ces conditions.
Dès lors, sorti de ce cadre, le consentement du patient n’existerait plus et l’inconscient le ramènerait immédiatement à la pleine conscience.

Combien de temps dure une hypnothérapie ?

Bien que qualifiée de thérapie « brève », une hypnothérapie n’est ni magique, ni instantanée. Elle s’inscrit donc dans une démarche et un engagement personnel sur plusieurs séances (généralement de 3 à 10).
Contrairement à la psychanalyse et à d’autres formes de thérapies qu’elle ne prétend pas remplacer, l’hypnothérapie est surtout et avant tout une thérapie « ciblée ».
La définition d’objectif est donc primordial afin de calibrer dès le début la demande et les attentes du patient.

Existe-t’il des contre-indications à une hypnothérapie ?

D’une manière générale, il n’existe pas de contre-indication à l’hypnothérapie puisque l’hypnose est un état naturel et tout à fait ordinaire.
Toutefois, seront exclues de l’hypnothérapie toutes les pathologies d’ordre psychiatrique telles que la schizophrénie et les troubles psychotiques (bipolaire, etc…) ainsi que la sénilité. Au surplus, il existe une contre-indication absolue pour la psychose aiguë ou la décompensation de pathologie du spectre psychotique ou bipolaire (BDA, décompensation schizophrénique, phase maniaque, psychose puerpérale).

Puis je arrêter mes médicaments dès lors que je commence une hypnothérapie ?

Une hypnothérapie ne se substitue en aucun cas à un avis ou un traitement médical. Ainsi, seul un médecin peut poser des diagnostics et lui seul est habilité à prescrire, modifier ou supprimer un traitement médical, et il est demandé au patient de ne pas interférer lui-même sur son traitement. En tant qu’hypnothérapeute, je n’ai aucunement vocation à me substituer au médecin ou à tout autre professionnel de santé que le patient peut être amené à consulter.
Ma pratique professionnelle intervient donc en complémentarité de la médecine conventionnelle, dans le registre de l’accompagnement de la personne, du développement personnel et du bien-être.

Témoignages

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